« Je suis feignant, j’aime pas travailler » : et si ce n’était qu’une croyance limitante ?

Tu te répètes souvent : « Je suis feignant(e) » (ou fainéant si tu préfères 😅). Tu as l’impression que c’est dans ta nature, que tu n’aimes pas travailler et que tu attends juste le week-end pour souffler.

Mais si, en réalité, tu n’étais pas paresseux ? Et si cette phrase n’était qu’une croyance limitante qui t’empêche d’avancer ? Dans cet article, tu vas comprendre pourquoi tu n’es pas feignant, mais simplement en quête d’une vraie source de motivation.

Pourquoi croire que tu es feignant est une erreur

Ne pas aimer son travail ne veut pas dire que tu es paresseux.

👉 Si tu traînes les pieds le matin, que tu regardes l’horloge toute la journée ou que tu ne penses qu’au week-end, ce n’est pas de la fainéantise : c’est le signe que ton activité actuelle ne te correspond pas.

Le problème, c’est que plus tu te répètes « je suis feignant », plus tu finis par y croire. Résultat : tu adoptes des comportements passifs, ce qui renforce ton idée de départ. Un cercle vicieux qui t’empêche d’avancer.

Personne n’est vraiment feignant : il faut trouver ta motivation

Pense à l’école 🎓.
Tu te souviens d’une matière que tu détestais, jusqu’au jour où un professeur passionnant a réussi à te la faire aimer ? Ce n’est pas toi qui avais changé, mais la façon dont la matière t’était présentée.

➡️ Dans le travail, c’est pareil. Quand tu trouves une activité stimulante, tu n’as plus l’impression de “travailler”. La motivation vient naturellement.

L’argent : une fausse motivation

Travailler uniquement pour payer les factures n’est pas suffisant pour te lever chaque matin avec enthousiasme.

En revanche, si tu associes ton travail à un vrai projet de vie — comme atteindre la liberté financière, voyager, ou passer plus de temps avec ta famille — alors l’argent devient une conséquence de ta motivation, et non ton seul objectif.

Les croyances limitantes qui t’empêchent d’agir

1. Se dire « je suis feignant » est une excuse qui cache souvent d’autres croyances limitantes, comme :
2. « Je suis trop timide. »
3. « Je n’ai pas l’âme d’un entrepreneur. »
4. « Je déteste les réseaux sociaux. »
5. « Je n’aime pas vendre. »
6. Ces idées préconçues créent des barrières qui t’empêchent d’essayer. Pourtant, la plupart tombent quand tu testes réellement.

Mon expérience personnelle

Moi aussi, je me suis longtemps crue feignante. Le lundi matin me semblait insurmontable, et je voyais ma carrière comme une longue punition jusqu’à la retraite.

Puis j’ai découvert l’entrepreneuriat en ligne.
J’ai tellement accroché que je travaillais plus que dans mon ancien emploi… mais sans m’en rendre compte, car je faisais enfin quelque chose qui me passionnait.

C’est là que j’ai compris : je n’étais pas feignante, je n’avais juste pas encore trouvé ce qui me motivait profondément.

Comment trouver ce qui te motive vraiment

Pour sortir de cette fausse croyance, il faut apprendre à mieux te connaître :

1. Pose-toi les bonnes questions : Qu’est-ce qui t’anime ? Qu’est-ce qui te donne de l’énergie au lieu de t’en prendre ?
2. Teste de nouvelles activités : tu pourrais découvrir une passion insoupçonnée.
3. Ne suis pas les tendances : une activité populaire ne te conviendra pas forcément.
4. Avance étape par étape : une introspection, des petits tests, puis un vrai plan.

👉 Et si tu veux de l’aide pour identifier ton projet, découvre mes ressources gratuites et ma formation pour trouver une idée de business en ligne adaptée à toi.

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FAQ – « Je suis feignant, j’aime pas travailler »

Pourquoi je me sens fainéant(e) ?

Parce que tu n’es pas aligné(e) avec ce que tu fais aujourd’hui, pas parce que tu es “paresseux(se)” par nature.
Souvent, le manque d’intérêt + l’absence de sens = zéro énergie. Change le contexte avant de te juger.

• Pistes : teste d’autres tâches, d’autres environnements, d’autres horaires.
• Signes d’alignement faible : ennui chronique, procrastination, compte-à-rebours jusqu’au week-end.

Comment arrêter d’être feignant(e) ?

Commence petit, structure ton temps et reconnecte ton travail à un objectif qui t’excite.
La motivation naît de la clarté + du progrès visible, pas de la culpabilité.

• Mesure hebdo des avancées (3 “wins” notés chaque vendredi).
• 1 micro-action/jour (10–15 min) sur un projet qui compte.
• Time-boxing (créneaux courts, ex. 25 min).

Je veux entreprendre mais je me crois feignant(e), que faire ?

Teste ton idée à tout petit format pour valider que le problème n’est pas toi, mais le manque d’alignement.
En entrepreneuriat, l’énergie vient quand tu résous un vrai problème pour de vraies personnes.

• Debrief : ce que tu as aimé / ce qui t’a vidé → ajustes ton positionnement.
• Choisis un mini-projet (offre pilote, 1 client test).
• Cadre clair : promesse, délai, livrable.

Je n’aime pas travailler : est-ce que l’entrepreneuriat est fait pour moi ?

Oui, si tu construis une activité sur tes forces et limites, et que tu automatises ce qui te draine.
Tu n’as pas besoin d’aimer “travailler” en général ; tu as besoin d’aimer ton travail spécifique.

• Conçois une offre “énergie-positive” (format, rythme, clients qui te conviennent).
• Liste forces/plaisirs (ce que tu ferais même gratuit).
• Délègue/automatise l’administratif dès que possible.

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Article rédigé par Priscillia, spécialiste du premier pas vers l’entrepreneuriat en ligne 👩🏻‍💻